Un blogue célébrant Movember
Alors que la barbe fait son grand retour dans notre culture populaire, la moustache, elle, semble toujours, comment dirais-je?, en marge de la mode et est encore traitée avec un brin d’ironie.
Chaque année, lors de l’activité de bienfaisance Movember, les visages moustachus refont une percée, mais il semble que la popularité de cette pilosité faciale retombe les autres mois de l’année. Toutefois, cela n’enlève rien à la beauté de cette activité. Nous, dans le milieu numismatique, savons que la moustache est indémodable.
L’argent ayant toujours été le reflet de l’histoire d’une nation ainsi que de ses dirigeants et personnages importants, la monnaie a toujours représenté des portraits historiques – ainsi que de bien belles moustaches. Autrement dit, il y a beaucoup de moustachus sur notre monnaie. Une question qui se pose est pourquoi le poil est-il autant à l’honneur dans le panthéon des portraits ornant les billets? Certes, la plupart de ces icônes moustachues sont décédées depuis près d’un siècle, voire plusieurs, pour certaines d’entre elles. Les tendances ont évolué depuis. Mais, cela n’enlève rien à l’élégance et à la dignité d’une belle moustache.
Pour promouvoir Movember, et en l’honneur de ces figures masculines à la pilosité faciale quelque peu déchue, nous voudrions vous présenter quelques illustres adeptes de la moustache qui ont marqué l’histoire et qui figurent sur les billets de banque du monde entier.
Le Blogue du Musée
Nouvelles acquisitions
Par : Raewyn Passmore
Quand vous entendez le mot « monnaie », quelle image vous vient en tête? Des pièces métalliques? Des billets de banque? Il y a trois cents ans, les gens avaient du mal à considérer ces derniers comme légitimes, et il leur a fallu un bon moment pour se faire à l’idée.
Congrès de l’Association royale de numismatique du Canada
Par : David Bergeron et Paul S. Berry
Cette activité permet à la Banque de faire découvrir des facettes de la Collection nationale de monnaies à la population. Cette année, nous avons décidé de raconter l’histoire des banques dites « fantômes » et des bouleversements économiques de 1837, qui ont touché tant le Canada que les États-Unis.
Planifier une exposition : toute une aventure (huitième partie)
Par : Graham Iddon
Cette fois-ci, nous avons pu admirer avec enthousiasme l’ensemble des textes, imprimés directement sur des panneaux de bois d’une hauteur de près de deux mètres et demi. En recourant à un procédé novateur, le personnel du centre de production d’expositions du Musée de la nature et des sciences de Sherbrooke est parvenu à des résultats vraiment impressionnants.
Planifier une exposition : toute une aventure (septième partie)
Par : Graham Iddon et Louise-Anne Laroche
Nous avons arrêté notre choix sur la compagnie qui fabriquera les composantes de notre exposition itinérante à venir, La gravure : un art à découvrir. Voilà qui est fort exaltant!