Un blogue célébrant Movember
Alors que la barbe fait son grand retour dans notre culture populaire, la moustache, elle, semble toujours, comment dirais-je?, en marge de la mode et est encore traitée avec un brin d’ironie.
Chaque année, lors de l’activité de bienfaisance Movember, les visages moustachus refont une percée, mais il semble que la popularité de cette pilosité faciale retombe les autres mois de l’année. Toutefois, cela n’enlève rien à la beauté de cette activité. Nous, dans le milieu numismatique, savons que la moustache est indémodable.
L’argent ayant toujours été le reflet de l’histoire d’une nation ainsi que de ses dirigeants et personnages importants, la monnaie a toujours représenté des portraits historiques – ainsi que de bien belles moustaches. Autrement dit, il y a beaucoup de moustachus sur notre monnaie. Une question qui se pose est pourquoi le poil est-il autant à l’honneur dans le panthéon des portraits ornant les billets? Certes, la plupart de ces icônes moustachues sont décédées depuis près d’un siècle, voire plusieurs, pour certaines d’entre elles. Les tendances ont évolué depuis. Mais, cela n’enlève rien à l’élégance et à la dignité d’une belle moustache.
Pour promouvoir Movember, et en l’honneur de ces figures masculines à la pilosité faciale quelque peu déchue, nous voudrions vous présenter quelques illustres adeptes de la moustache qui ont marqué l’histoire et qui figurent sur les billets de banque du monde entier.
Le Blogue du Musée
Nouvelles acquisitions
Par : Raewyn Passmore
Les derniers venus dans la Collection nationale de monnaies proviennent de contrées lointaines et datent de 1 500 à 2 500 ans.
Le Big Nickel
Par : Paul S. Berry
La pièce commémorative de cinq cents de 1951 a été émise pour célébrer le 200e anniversaire de la découverte du nickel comme élément naturel. Tout récemment, j’ai eu l’immense plaisir de participer aux festivités entourant l’anniversaire du Big Nickel et de donner un exposé sur le concours graphique organisé à l’époque en vue de la fabrication de la pièce de cinq cents de 1951.
Planifier une exposition : toute une aventure (sixième partie)
Par : Graham Iddon
Inutile à ce stade de pinailler sur les détails. Nous convoitions certes une voiture luxueuse, mais savions bien qu’au final, nous allions hériter d’une très belle berline familiale.
Planifier une exposition : toute une aventure (cinquième partie)
Par : Graham Iddon
Le moment est venu pour le rédacteur de respirer un bon coup, car il doit maintenant parvenir à résumer en 65 mots 50 pages de recherches autour d’un thème comme « la représentation de 75 ans d’identité nationale sur les timbres et les billets de banque ».